Retours d'expérience

Projet pilote : Wooflash en ostéopathie par Marie Hariveau

04.10.2021 • 6 minutes

Marie Hariveau, directrice du Centre International d'Ostéopathie, nous partage son expérience du projet pilote.

Marie Hariveau (M.H.) endosse plusieurs costumes au Centre International d’Ostéopathie (CIDO), une école basée à Saint-Étienne. Directrice, enseignante, sans oublier praticienne... le tout motivé par l’envie que “les étudiants prennent du plaisir à apprendre” ! Avec son équipe pédagogique, elle prépare aujourd’hui son établissement à répondre aux nouvelles attentes des enseignants et des étudiants.

C’est pourquoi, après avoir adopté Wooclap en 2020, le CIDO a choisi de tester gratuitement Wooflash pendant le premier semestre de 2021. L'objectif ? Enrichir l’expérience étudiante, assurer l’ancrage des savoirs et fournir aux enseignants des outils intuitifs. Un projet pilote à la hauteur de leurs attentes puisque Wooflash est désormais déployé au CIDO pour 3 ans ! Marie Hariveau lève avec nous le voile sur son déroulement.

Comment est née l’envie de tester Wooflash au Centre International d'Ostéopathie ?

En 2020, enseignants et ingénieurs pédagogiques remontaient surtout le besoin d’un outil comme Wooclap. Il s’agissait de faire face à la passivité des étudiants pendant les cours, et de les faire participer à distance comme en présentiel.

  • M.H. : Au CIDO, l’adoption d’outils pédagogiques s’inscrit dans notre vision d’avoir un enseignement plus actif. On a beaucoup d’heures de cours et on se rend compte que les étudiants n’intègrent pas les apprentissages correctement. Ils font autre chose…

Pour Wooflash néanmoins, la demande est d’abord venue des étudiants :

  • M. H. : Ils souhaitaient pouvoir réviser et faire des tests en dehors des périodes de cours. Ça les rassure d’avoir un support sur lequel s’exercer, travailler... Par la suite, on a donc mobilisé les étudiants pour qu’ils créent eux-mêmes des groupes de création de questions sur Wooflash. 

À quels besoins pédagogiques répond Wooflash ?

Pour Marie Hariveau et son équipe, les bénéfices pédagogiques de Wooflash répondent à 3 besoins identifiés par l’école.

  1. La possibilité d’un suivi à la maison pour les étudiants. Avant et après le cours, Wooflash permet d’assurer une réelle continuité pédagogique.
  2. La répétition des questions pour ancrer les connaissances. Wooflash repose sur une pédagogie active, basée sur des principes neuroéducatifs : la répétition espacée, la rétroaction immédiate et des questions favorisant la mémorisation et le transfert des connaissances.
  3. Le suivi statistique de la compréhension et de l’assiduité des étudiants. Le nombre et la fréquence des sessions d’études ou le taux de réussite par question et par étudiant… voilà autant d’informations précieuses à récolter sur le tableau statistique de chaque cours Wooflash.

    M.H. : En tant que directrice, l'aspect “assiduité” est bien utile. Sur Wooflash, on voit les étudiants qui décrochent, ceux qui sont là, ceux qu’il faut relancer…

J’ai réellement vu l’impact sur l’engagement des étudiants. Pour mon cours, j’ai fait l’expérience d’envoyer une vidéo et de leur proposer une activité Wooflash avant le cours. Or quand ils sont arrivés en cours, ils en connaissaient déjà une bonne partie...

Marie Hariveau

Comment le projet pilote a-t-il été mis en place ?

Le CIDO a été accompagné dès le début par une Account manager, Arlène. Une proximité dans la relation particulièrement appréciée par Marie Hariveau et Erwann Jacquot, l’ingénieur pédagogique en charge du projet.

  • M.H. : L’équipe Wooflash était dans le partage d’expérience, la souplesse, et nos interlocuteurs ouverts à la discussion.

Le projet pilote a ensuite été déployé sur 3 grands volets, détaillés sur un Carnet de bord personnalisé mis à disposition des équipes du CIDO :

  1. Le déploiement de la plateforme. L’ensemble des enseignements et des étudiants du CIDO ont eu accès à Wooflash de façon illimitée pendant le semestre. Afin de simplifier l'accès à la plateforme et d'intégrer Wooflash dans l'environnement de travail des enseignants, l’établissement a eu la possibilité de mettre en place le plugin Wooflash dans Microsoft Teams.
  2. La communication et la formation. Une page ressource sur le Carnet de bord a pu soutenir les ingénieurs pédagogiques du CIDO dans le lancement des campagnes de communication sur Wooflash. L’équipe projet disposait notamment d’e-mails pré-rédigés ou de tutoriels à partager. Un premier Webinaire de présentation a également été organisé au CIDO dès le début du semestre. Enfin, une rencontre avec les représentants des étudiants et une session de questions-réponses ont été l’occasion de les convaincre de l’utilité de Wooflash dans le projet pédagogique.
  3. Le troisième volet, et non des moindres : le retour d’expérience. Tout au long du projet pilote, le CIDO a eu l’occasion de suivre et analyser les usages de Wooflash par les enseignants et les étudiants. 

L’impact du projet pilote au CIDO

Les chiffres d’utilisation se sont avérés encourageants. Près d’1 enseignant sur 6 a adopté Wooflash sur une période de 4 mois, et plusieurs centaines de leurs étudiants ont pu rejoindre des cours Wooflash.

  • M.H. : Ça prend toujours du temps de prendre en main un nouvel outil. Néanmoins, sur Wooflash, certains de nos enseignants ont été véritablement moteurs. C’est notamment le cas de ceux qui utilisaient déjà Wooclap et qui ont pu transférer leurs questions vers Wooflash.

Mais au CIDO, les équipes pédagogiques ont surtout été emballées par les excellents retours des enseignants et des étudiants sur Wooflash. Dans les mots de la directrice :

Au CIDO, ceux qui se sont essayés à Wooflash ont tous adhéré ; autant au niveau des étudiants que des enseignants. Pas un ne m’a dit qu’il s’était plongé dedans et n’y arrivait pas. Il y a seulement ceux qui ne s’y sont pas encore mis ! Pour moi, cela est une preuve de la simplicité de prise en main de l’outil.

Marie Hariveau

Quels aspects de Wooflash ont su convaincre le CIDO ?

C’est bien la facilité d’utilisation qui arrive en tête des critères de choix, dans une école où la majorité des enseignants n’interviennent que ponctuellement.

  • M.H. : Pas besoin d’être bon en informatique. On peut utiliser n’importe quel fichier, tout est très bien expliqué. C’est vraiment simple.

Les enseignants du CIDO ont aussi particulièrement apprécié la fonctionnalité de suivi statistique : savoir quand et comment les étudiants révisent, ou encore comment ils progressent sur une notion donnée. Marie Hariveau met enfin l’accent sur le design de la plateforme. Elle a en effet l’intime conviction qu’il faut savoir s’adapter aux nouveaux usages des étudiants.

La suite pour Wooflash au CIDO ?

Laissons le dernier mot à Madame la Directrice :

L’objectif est maintenant que cela s’intègre pleinement dans le progrès pédagogique de l’école. On s’efforce continuellement à former nos enseignants pour qu’ils changent leurs formats d’enseignement. Avec Wooflash, je leur donne un outil qui leur permet de faire évoluer la pédagogie.

Marie Hariveau

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Auteur(e)
Sylvain Bitton, Content Marketing Manager @Wooflash
Sylvain Bitton

Content Marketing Manager @Wooflash. Enchanter l'enseignement par les mots et les images, c'est la mission qui m'anime au quotidien. Et à la fin de l'article, je signe !

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